
PASA : Pôle Sud/ APPEL À CANDIDATURE
Pôle Sud APPEL À CANDIDATURE POUR UNE FORMATION DE CONSEILLEURS EN AGRICULTURE CONTRACTUELLE (AC)
Pôle Sud APPEL À CANDIDATURE POUR UNE FORMATION DE CONSEILLEURS EN AGRICULTURE CONTRACTUELLE (AC)
Le «Programme d’Appui au Secteur de l’Agriculture (PASA) » est un projet d’appui aux chaines de valeur (Les filières) intégrant une dimension territoriale et gestion des ressources hydriques et environnementales. Le …
Le «Programme d’Appui au Secteur de l’Agriculture (PASA) » est un projet d’appui aux chaines de valeur (Les filières) intégrant une dimension territoriale et gestion des ressources hydriques et environnementales. Le programme est financé sur les fonds de l’Union européenne et de la coopération allemande (BMZ).
Le PASA intervient sur plusieurs chaines de valeur au regard de la politique de modernisation des filières mise en œuvre par le Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural (MADR). Le programme est structuré en deux pôles d’activités:
Le pôle Sud (Piloté par la GIZ, Allemagne): regroupant les wilayate de Biskra (Filières « dattes biologique » et « Piment » et d’El Oued (Filière « pomme de terre »).
Le Pôle « Soummam » (Piloté par « Expertise France »), regroupant les wilayate de Béjaia, Bouira et Tizi Ouzou, dédié exclusivement à la filière « Huile d’olive».
Le PASA est coordonné par l’INRAA pour le compte du Ministère de l’Agriculture et du Développement rural. Pour contacter le coordinnateur du projet: Merci de visiter la page du projet.
L’agriculture familiale a fait l’objet de nombreux travaux, publiés par la FAO, le CIRAD et le CIHEAM-IAMM, qui ont largement contribué à approfondir l’analyse sur les capacités et la contribution de …
En partenariat avec la FAO et le CIHEAM et l’INRAA, appuyés par le MADR et l’INVA, un rapport dédié à la « Petite Agriculture Familiale » (PAF) en Algérie sera prochainement publié. L’Etude sur l’Algérie s’inscrit dans le sillage des études déjà réalisées dans 6 pays (Égypte, Liban, Maroc, Mauritanie, Tunisie, Soudan).
L’agriculture familiale a fait l’objet de nombreux travaux, publiés par la FAO, le CIRAD et le CIHEAM-IAMM, qui ont largement contribué à approfondir l’analyse sur les capacités et la contribution de ce type d’agriculture à générer de l’emploi et des revenus et à répondre aux défis qui s’imposent aux pays notamment en ce qui a trait au changement climatique, à la résilience des agrosystèmes et à la préservation de la biodiversité.
Ces études se sont aussi focalisées sur la place de cette agriculture dans les politiques agricoles et rurales. Par ailleurs, l’agriculture familiale a polarisé l’intérêt des organismes internationaux et des institutions nationales de recherche scientifique interpellés par la nécessité d’apporter des réponses aux demandes induites par les réformes économiques et socio-politiques mises en œuvre durant les vingt dernières années.
L’étude sur la petite agriculture, « Small Scale Agriculture » pour le monde anglo-saxon, et la petite agriculture familiale (PAF) dans la région NENA s’intègre dans le cadre de l’initiative régionale de la FAO « Sustainable Small-Scale Family Farming in the NENA Region » rattachée à l’objectif stratégique 3 (OS3) portant sur la réduction de la pauvreté rurale. Elle vise à faire une analyse comparative de la définition et de la place de la petite agriculture dans la région.
Ce rapport a pour objectif final de formuler des recommandations et des principes d’action pour la FAO permettant de développer un programme d’appui pour améliorer le fonctionnement de la petite agriculture, réduire sa vulnérabilité et consolider ses fonctions économiques, sociales et agro-écologiques dans les pays.
L’ancrage d’un secteur aussi vital que celui de l’agriculture et de l’élevage repose sur son histoire. Monsieur Khiati nous livre un pan entier de l’agriculture algérienne postindépendance durant une période assez …
L’ancrage d’un secteur aussi vital que celui de l’agriculture et de l’élevage repose sur son histoire. Monsieur Khiati nous livre un pan entier de l’agriculture algérienne postindépendance durant une période assez riche d’évènements qui ont marqué ce secteur, déployé sur un vaste territoire et une volonté humaine qui constitue le développement de notre pays. Comme le retrace l’auteur, des étapes et documents de statistiques à l’appui, la mutation actuelle que connaît l’agriculture algérienne succède à un long processus d’évolution dans la conduite de l’économie nationale dans sa globalité.
En effet, le secteur agricole recèle les seules ressources durables et renouvelables pour alimenter de façon régulière la population en biens alimentaires. Sa redynamisation constitue, dans une conjoncture économique nationale particulièrement favorable, un objectif capital vers lequel, tous les efforts de développement doivent tendre vers la satisfaction des besoins alimentaires de la population et la réduction du déficit de la balance commerciale alimentaire.
Cet ouvrage a pour finalité de présenter une synthèse des principales réformes agraires et politiques agricoles engagées en Algérie depuis le recouvrement de la souveraineté nationale en 1962 et de décrire d’une façon sommaire, parfois détaillée, les caractéristiques principales du point de vue utilisation des espaces agricoles, du foncier agricole, de l’encadrement et le mode d’appui et d’assistance technique, du financement et les performances enregistrées dans le cadre de ces réformes.
L’auteur nous interpelle à plus d’un titre et son œuvre constitue une référence à partir de ce qu’il décrit et ce à quoi nous devons penser sur ce qui reste à faire. C’est-à-dire aussi de quelle manière l’entreprise agricole à l’aube de ce 21e siècle doit occuper la place qu’il lui faut dans l’économie du pays.
Dr. Rachid El Bouyahiaoui
Directeur de l’INRAA
Des résultats de recherche ont été produits par les instituts techniques et l’INRAA dans les domaines aussi diversifiés que l’obtention variétale des semences céréalières (ITGC), la production de plants de pomme …
Une revue des activités développées dans le domaine des semences et plants a permis de mettre en évidence l’existence de nombreux résultats de la recherche-développement étant donné que de nombreuses variétés ont été créées et figurent dans les catalogues officiels (céréales, pommes de terre, oliviers etc.). Toutefois, le processus de valorisation économique des outputs biologiques demeure faible.
Les pouvoirs publics ont intégré cette problématique, dès 2008, dans les stratégies de développement dans le cadre du programme prioritaire « Semences et Plants » dans sa composante « Semences Plants et Géniteurs ». Ce dernier vise à assurer une production plus importante de semences, plants et géniteurs certifiés d’une part, et conséquemment à garantir la base de la sécurité alimentaire et de la souveraineté nationale d’autre part. Ce programme vise à assurer un taux d’utilisation plus élevé des semences de qualité et à assurer une diversification de l’offre au niveau des coopératives de céréales (CCLS) et des pépiniéristes. La pérennité du système en a été assurée par son intégration dans un réseau de fermes pilotes dont la réhabilitation a été consacrée par la loi d’orientation agricole (Loi 08-16 du 3 août 2008 portant orientation agricole).
Des résultats de recherche ont été produits par les instituts techniques et l’INRAA dans les domaines aussi diversifiés que l’obtention variétale des semences céréalières (ITGC), la production de plants de pomme de terre in vitro (INRAA), la production de géniteurs ovins de qualité et de souche cunicole (ITELV), la sélection sanitaire et clonale des variétés des espèces fruitières pour la constitution des sources primaires (ITAFV).
Toutefois, ces institutions restent confrontées à des contraintes objectives qui freinent le processus de valorisation économique des innovations dans le domaine des semences et plants.
Un rapport, élaboré en 2011 par un groupe d’instituts et de centres de recherche, a permis de mettre en évidence les principales contraintes qui freinent le processus de valorisation de ces résultats de recherche à savoir : – La faiblesse de la visibilité de la demande sociale. – La déficience des interfaces de valorisation des résultats de la recherche. – La faiblesse du dispositif de création et de soutien aux PME et TPE. – L’inadéquation du système de financement des activités des entreprises impliquées dans les activités biologiques à haut risque. – La problématique de la réglementation et du cadre juridique.
Des mécanismes en faveur de la valorisation des résultats de la recherche dans le domaine des semences, plants et géniteurs y sont proposés notamment en ce qui a trait aux cadres législatifs et juridiques, les aides publiques, la fiscalité, le financement et la politique d’appui à la création des PME .